jeudi 24 janvier 2013

Mise en chantier - 11ième partie


Bonjour,

C'est la construction de la superstructure que j'ai attaquée dimanche dernier.
Cette partie sera amovible et permettra l'accès à l’intérieure du bateau et notamment au groupe vapeur.
Elle supportera le crochet de remorquage ainsi que le pont-passerelle.

Bizarrement, quelques erreurs sur les plans, les numéros de pièces ou leur non-attribution ont retardé le montage de ce gros élément car il faut tout corriger soi-même. Mais il n'y a rien d'insurmontable avec un peu de bon sens.

Colle à bois, pinceau, papier de verre, lime, scalpel et c'est partie...


Un peu de ponçage et de mastic pour égaliser les éléments entre eux et effacer les imperfections.
La prochaine étape sera de peindre cette superstructure puis de coller le reste des éléments qui eux ne sont pas à peindre (main courante en laiton, les 6 écoutilles en bois et le pont-passerelle en bois également).

Ça va être bôôô !

A bientôt pour le suite.

Portez-vous bien.
Arnaud.

mercredi 23 janvier 2013

Mise en chantier - 10ième partie


Bonjour,

Aujourd'hui j'aborde la construction des extensions de pont bâbord et tribord qui supporteront les couvres-roues.
Aucune difficulté particulière. La notice et le plan sont clairs.

Partie supérieure et inférieure de l'extension de pont tribord :


Après avoir découpé et poncé les baguettes, repérage sur le plan de la structure interne de l'extension de pont constituée par ces dernières :


Collage :



Collage des équerres qui viendront s'appuyer sur la coque :


Peinture avec toujours ce problème d'infiltration sous le masquage :



Il est préconisé de découper la partie extérieure latérale des extensions afin de pouvoir passer les roues sur leur arbre et de recoller cette partie ensuite. Mais après essais, il est possible de placer d'abord les roues puis d'installer les extensions de pont en les faisant glisser par dessous les roues sans avoir besoin de couper les extensions.

 A demain :-)

Portez-vous bien.
Arnaud.









mardi 22 janvier 2013

Mise en chantier - 9ième partie


Bonjour,

Vous êtes venus pour la surprise ?
C'est bien mais calmez-vous, il n'y a rien d'extraordinaire.

Il s'agit aujourd'hui du nom de baptême de mon remorqueur vapeur.
Oui, il s'appelle Glasgow mais je voulais un nom et un port d'attache. J'ai donc décidé de garder Glasgow comme port d'attache histoire de pouvoir identifier le kit. Ensuite pour le nom, j'ai hésité entre "Virga" qui est une pluie qui s'évapore avant d'atteindre le sol (rapport à la vapeur du bateau). Puis j'ai voulu être cohérent avec la ville de Glasgow. J'ai pensé l'appeler "Clyde" du nom du fleuve qui borde la ville et sur lequel ce bateau n'a pas manqué d’œuvrer, imagine-t-on. Enfin une recherche sur Wiki m'apprend que le fondateur de la ville de Glasgow est un certain Jocelin, évêque.
Entre 1175 et 1178 cet homme obtient pour la Ville de Glasgow, le statut de Burgh. Statut permettant développement et commerce qui lui permettra de devenir à notre époque l'un des plus importants ports du monde.

Je me suis donc procuré une planche de décals de lettres, puis je les ai collées une après l'autre baptisant ainsi le bateau.



Résultat avant vernis

Après vernis




Je suis resté dans le thème tout en étant historique et crédible, j'aime bien.
Je suis assez satisfait du résultat. Encore une fois avec de la patience...

A demain pour la suite.

Portez-vous bien.
Arnaud.


lundi 21 janvier 2013

Mise en chantier - 8ième partie


Bonjour,

Aujourd'hui il s'agit de peinture...celle de la coque...ma hantise !

Après de longues hésitations, de recherches, de conseils (merci Nico, Sosthène, Armand...) et un peu de fébrilité, je m'installe dans le garage sous l'immeuble, je place la coque sur des tréteaux et je commence par peindre le partie centrale de la coque à la bombe Tamiya TS-7 Racing White par fines couches successives. Ceci constituera le liseré blanc courant le long de la coque et délimitant le rouge et le noir.

Oui, sur la photo, blanc cassé sur blanc...ça ne se voit pas !


Ensuite, un autre jour, je me suis demandé comment tracer une ligne droite tout autour de cette coque courbe afin de délimiter parfaitement le blanc du futur rouge !
Heureusement l'amiral Nico me renseigne sur le trusquin. N'en n'ayant pas je m'en fabrique un, certes grossier, mais me permettant tant bien que mal de tracer cette frontière.
Puis, j'applique l'adhésif de masquage le long du tracé et je retourne sous l'immeuble pour les couches légères et successives de rouge (Red Dull).

Oui, c'est éclairé grâce aux phares de la voiture...on fait comme on peut, hein !

Enseignement retiré à cette étape : Ne jamais vider totalement une bombe de peinture car les dernières projections ne sont pas les sympathiques et fines gouttelettes habituelles mais de gros pâtés de peinture !!!
Comment flinguer une petite heure de boulot !
Du coup, j'ai attendu que ça sèche, j'ai poncé les pâtés et, malheureusement, ceux-ci étant plus durs que la couche de peinture elle même, les pâtés étaient toujours là, auréolés d'un cercle blanc...Donc, ponçage énergique et retour sous l'immeuble (le week-end suivant) pour une autre séance de rouge.

Enfin, après séchage, j'ai pu retirer le masquage :




Il y a toujours des bavures de peinture qui s'infiltrent sous le masquage. Avec un scalpel j'ai délicatement gratté pour enlever les bavures les plus disgracieuses. Ça passe.

Encore un autre jour, il a fallut que je m'attaque à la partie noir de la coque. Nouveau masquage et retour sous la lumière de la voiture. Le résultat n'était pas mal du tout, hormis les bavures.
Mais, je ne me rappelle plus pourquoi, j'ai dû à nouveau refaire une couche de rouge (la semaine suivante...). Malheureusement, j'avais bêtement masqué à un endroit différent de la fois précédente et j'ai bien évidement eu droit à une horrible "marche d'escalier" entre les deux rouges ! Insupportable à voir...Le week-end suivant je résorbai ce défaut en repassant une bombe entière de rouge (sans la vider, hein...). Mais j'ai eu droit à d'horribles bavures que j'ai grattées lentement. J'ai pu rattraper l'ensemble mais en tout et pour tout cela m'a pris quelque chose comme 8 semaines !

Bref, ça passe pas mal quand même, surtout de loin (comme Alain...) :






Ouf ! Deux bonnes couches de vernis (deux bombes entières) en espérant que ça ne bouge plus avant longtemps ! 
Un de ces jours (mais vraiment pas tout de suite...) je ferai une retouche de rouge sur l’arête de la coque sous la proue (voir photo ci-dessus). Je ne sais pas comment elle s'est usée, sans doute en frottant dans le transport.

Demain, toujours au sujet de la coque, une petite surprise, si vous êtes sâges ;-)

Portez-vous bien.
Arnaud.



dimanche 20 janvier 2013

Mise en chantier - 7ième partie


BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2013 à TOUT LE MONDE !


Re-voici le Glasgow et ses dernières avancées en matière de collage, ponçage, peinturlurage, assemblage, ajustage, ratage et recommençage...

Aujourd'hui, les manches à air.
Elles se présentent en deux demi-coques qu'il faut extraire de la plaque de moulage ABS en les découpant au cutter pour les assembler entre elles.

 
Mais, bien sûr, ce ne sont pas des pièces de Légo, il y a du boulot pour les faire coïncider et combler le manque de matière à leur jonction. Ceci le plus proprement possible afin que la mise en peinture ne grossisse pas les défauts.
Grâce à du ruban adhésif j'ai fait tenir ensemble les deux morceaux.
Sur les photos on pourrait croire que ces deux pièces ne vont pas ensemble. Pourtant oui...j'ai été un peu inégal sur le ponçage de chacune d'elle...



Grâce à un produit particulièrement simple d'utilisation et efficace, la pâte Milliput, j'ai pu arranger tout ça.
Cette pâte se comporte comme de la pâte à modeler que l'on peut rendre plus souple en y ajoutant un peu d'eau. Elles sèche en 12h et reste "travaillable" en gros 6h. Une fois sèche, elle est dure comme de la pierre, "soude" solidement les deux morceaux mais reste aisément ponçable.

 Après application de la Milliput, séchage, retirage du ruban adhésif et ponçage...


...je comble et rectifie les petits défauts avec du mastic blanc (oui, je sais, j'ai encore débordé...)


Après ponçage, ça a déjà plus de gueule !



Ensuite, peinture (bombe Tamiya Racing White TS-7 et pot rouge Tamiya)
Et hop :-)

Surtout ne pas hésiter à mastiquer/poncer plusieurs fois pour bien absorber la jonction des deux pièces.
La seconde manche à air est en préparation avec la même méthode qui marche parfaitement bien, puisque j'y suis arrivé facilement (mais avec de la patience) alors que je suis un bon gros débutant ;-)

Je vous dis à demain pour ce qui m'a inquiété et freiné dans la réalisation du bateau...la peinture de la coque en  noir, rouge et blanc !

Portez vous bien.
Arnaud.